Beni culturali e Architettonici: Analisi, Documentazione, Ambiente. La «Présentation» de la Préhistoire: de la Pratique à la redécouverte des valences immatérielles

ACCARDI A
2006-01-01

2006
88-8453-494-1
Revisiter le passé, en les adressant à un public ne spécialisé pas, est un des fondements qui oriente les stratégies actuelles muséales, élaborées pour répondre aux nouvelles demandes d’une muséalisation moins idéologisée. Aussi les sites préhistoriques, comment il arrive pour les contextes d’intérêt archéologique moins lointain, ils peuvent être interprétés comme instruments pour l’identification d’une communauté avec son territoire, en combien témoins du lien entre facteurs visibles et invisibles dans leurs intrinsèques, traces concrètes des relations entre eux et les hommes. Il faut évaluer de façon critique l’opportunité et la faisabilité de présenter l’histoire d’un passé loin - avec ses expressions primordiales d’art - comme une source concrète de connaissance pour le public contemporain, sans perdre la conscience qui peut résulter déformé par interprétations subjectives. Donc il est d’oblige la jouissance de modèles muséologiques et muséographiques qu’ils puissent garantir la présentation et conservation de l’heritage soi-disant, en réduisant au même temps le risque d’évoquer une histoire fourvoyée ou ethnocentrique. La complexité des activités de la muséalisation et de l'objet préhistorique à muséaliser implique une enquête cognitive basée sur cas d’étude significatives qu'ils seront racontés. De la comparaison entre les différentes réalités préhistoriques muséalisées présents en toute Europe on peut relever l’ensemble de stratégies sophistiquées de présentation, expérimenté avec l’objectif de véhiculer les valences historiques, artistiques, mythologiques et matérielles des ouvrages et des formes d’art présents en chaque sites sans lequel résulterait beaucoup difficile de faire cueillir les aspects immatériels à un public ne spécialisé pas. Le degré de renseignement et de communication qu’on prétend atteindre avec les procès de muséalisation ne peut pas que changer de cas en cas. Plus lointaine c’est la réalité qui on désire représenter et plus grande c’est la possibilité de représenter le “faux”. Le risque de fond dans ce type de muséalisation consiste parfois non seulement à devoir présenter objets réels  peut-être en les re-contextualisant  mais plutôt à mettre en scène une “copie”, la reproduction d’un scénario, d’un système perdu de vie, qu’il demande pas un engagement descriptif indifférent, presque à la limite du “redessine” de l’histoire. En poursuivant un but didactique précis, les stratégies museographiques utilisables doivent contenir aussi un composant ludique, que ne dépasses pas ce didactique-scientifique, mais que contribues à rendre le sens de la communication originaire, en déterminant une mise en scène créatrice et aussi toujours croyable.
musei e preistoria; didattica museale; pratiche museografiche
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Utilizza questo identificativo per citare o creare un link a questo documento: https://hdl.handle.net/20.500.12078/3066
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